Pourquoi le nom PENLOCKE.COM ?

Quelle est l’origine de Penlocke ? Je pourrais la retracer en fouillant dans mon journal intime. Je ne suis cependant pas prête à plonger dans la lecture de milliers de pages manuscrites en quête de la première fois où m’est venu à l’esprit ce mot qui m’a tellement plu que j’en ai fait une Cité imaginaire. Étonnant qu’une auteure nomme une cité d’un agencement de mots qui se rapproche d’une angoisse d’écrivain. En effet, penlocke… pen locked… stylo verrouillé… Hum…. Amusant si on considère que je n’ai jamais souffert du syndrome de la page blanche. Je me suis peut-être protégée en créant Penlocke.

La nouvelle La Cité de Penlocke, a été publiée en 1995 dans la revue Imagine… 72. Elle s’est méritée le Prix Septième Continent en 1995 et le Prix Boréal en 1996. Des années plus tard, elle s’est greffée à la trilogie des Cités intérieures parce que cela allait de soi.

Cette Cité est en moi, comme elle l’est dans mes personnages. C’est pourquoi lorsque je cherchais un nom intéressant et facile à retenir pour mon nouveau site web, celui-là est venu naturellement.

 

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Commentaires   

# F. Moreau / Jp Jutras :) 18-12-2014 01:25
Natasha,

Merci, merci, merci pour le don de tes cités imaginaires. J'en suis déjà à mon troisième voyage à travers les citées intérieures et il est tout autant fascinant que la toute première fois où j'y ai plongé mes yeux. Les cités imaginaires que tu as créé sont aussi un monde parallèle pour moi, une bulle figée dans le temps, vestige d'une ancienne vie que j'ai menée à Montréal il y a une bonne dizaine d'années aux côtés de ma douce et défunte ex-petite amie, Valérie, celle qui m'a introduit à ton immense talent en me prêtant ses copies des citées intérieures, lesquels je conserve toujours précieusement avec moi. Valérie, libraire, étudiante en littérature à l'uqam, qui te ressemblait beaucoup physiquement aussi, étrangement. Comme si la vie, petit rictus en coin, prenait un malin plaisir à créer des énigmes sans réelle pertinence. Bref, à travers tout ces lieux et merveilleux personnages, je retrouve l'ombre de qui j'ai déjà été dans le passé, à l'époque où j'habitais Montréal. Je me retrouve au Saphir, au Passeport à côtoyer toute cette faune cyber-goth-indu que tu connais si bien. Je me sens moins seul, de nouveau en couple. C'est aussi un voyage dans le passé où Internet et les réseaux sociaux n'avaient pas encore cette emprise aussi suffocante. ...C'est apaisant. Je me sens bien dans tes livres, c'est comme un refuge qui tient dans une seule main, ma seconde maison... Un peu comme Jimmy quand il se réveille pour la première fois dans la chambre de la Tumono House j'imagine..!

Voilà, j'ai déjà eu la chance de te dire merci en vrai il y a fort longtemps, (en fait, je t'ai probablement simplement salué et réclamé une signature avec maladresse puisque la gêne me transforme parfois en mutant paraplégique. Mais je compte bien me reprendre au prochain salon du livre de Québec si tu y repasses. J'ai très hâte d'entamer tes trois derniers romans... Trois déjà..! Oui je sais, honte à moi! Mais au dernières nouvelles tu étais à l'écriture de ton roman "Le deuxième gant", ...Le temps passe si vite! Alors un gros merci sincère encore Natasha, Bravo pour ton site, choix judicieux comme appellation, Je retourne à L'ombre pourpre maintenant,.. Heureusement, je ne "retues" pas tout les personnages au complet à chaque relecture... :)

Bonne soirée!
Jean-Philippe

P.S. Désolé pour le langage familier et le tutoiement mais ça me parait naturel depuis toute ces années, j'ai l'impression de te "connaître". :)
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# DemandeNatasha B 10-11-2015 09:07
Bonjour Jean-Philippe,

Me permets-tu de mettre une petite partie de tes commentaires plus en évidence sur penlocke.com ? Ce serait une citation de Jean-Philippe, lecteur des Cités Intérieures ;)

Natasha
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# :)Jean-Philippe 10-12-2015 15:42
Bien sûr, absolument :)
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